Publié : lun. 11 oct., 2010 16:50
Hello.
Petite histoire avec des mots pour l'expédition CHARADE 2010.
Après ma journée de travail, debout à 3h30 et retour à la maison vers 14h, je suis parti avec l'attelage vers 15h.
Direction l'A71 via l'A10 et l'A104.
Roulage impec pour sortir de la région parisienne.
Moyenne tenue 110/115 quand survient la première panne.
Le moteur câle sur l'autoroute...
Je me mets en roue libre (V8 boitoto + remorque).
Coup de bol, un accès se présente juste avant un pont, je m'y arrête.
Je jette un oeil sous le capot, triture quelques fils d'allumage puis essaie de redémarrer.
Le moteur repart, je repart aussi.
L'espace est bien court pour reprendre un bon 100 en moins de 15 ml...
Mais j'y arrive, non pas le 100km/h en 15 ml mais à me lancer suffisamment pour atteindre une vitesse convenable.
Je remonte dans l'auto et ça repart... jusqu'à un km d'une aire de repos...
Lequel km que je parcours en roue libre... vas-y, vas-y, encore 200m, 100m, 50m et jusqu'à l'arrêt, j'entends le démarreur, ouin, ouin, ouin.
Faut dire que quand j'étais en roue libre la dernière fois, j'ai activé le démarreur en roulant pour voir si le moteur repartirait...
Connerie !
Le démarreur est resté enclenché dans la couronne entraînée par la boitoto, même au point mort, le convertisseur entraînait le volant...

Donc quand je me suis arrêté, ouvert le capot, le câble de masse commençait à fondre ainsi que le plus démarreur.

Ce dernier a fait Dynamo en restant enclenché.
Il était bouillant, enfin, brûlant, il n'était pas encore liquéfié.
Heureusement qu'il n'a pas claqué, bonjour pour redémarrer un V8 boitoto à la poussette !
Bref, démontage dudit démarreur pour inspection avec des gros gants.
Etat ok.
Par contre deux doigts de ma mimine brulés, même avec les gants pour démonter les cosses de la batterie !
Après le remontage de tout sur le parking PL, j'appelle Eric pour lui dire ce qu'il en est.
J'ai bien pensé au pire des cas, de monter la Diplomat sur le plateau et l'accrocher à la Commodore.
Je ne serai sûrement pas allé loin ainsi, les gendarmes auraient sûrement au leur mot à dire...
je renquille l'A71 et je m'arrête à la station suivante pour faire un complément d'essence.

Je repart et le moteur recale sur la bretelle de sortie.
Re-tour sous le capot, rien d'anormal.
Sauf qu'en regardant l'aspect du porte fusible de la pompe à essence électrique, je m'aperçois qu'il est oxydé...
Nettoyage et c'est reparti pour la troisième fois.
Jusqu'à l'hôtel àCeyrat où j'arriverai vers 21h15.

Fin de la journée de vendredi, longue et plutôt stressante.
En voulant reprendre la Diplomat après avoir dettelé, la pompe à essence claque rudement fort, anormalement.
Nous décidons, Eric & moi, de prendre la Monza pour aller manger.
La pompe, on verra demain.
Le petit déjeuner est à partir de 7h30, il sera bien temps à 7h ou de voir ce qu'a la pompe, ou de la changer paske j'en avais pris une d'avance...
(tiens, comme c'est bizarre ?)
Une bonne nuit me remet d'aplomb et le lendemain, samedi, debout après 7h pour la pompe.
Un coup de démarreur, elle claque encore puis plus rien...
Saloperie!
Du coup, nous prenons notre temps, sortons les attelages de l'hôtel pour les "exposer" sur le parking de devant.



La journée piste se passe magnifiquement bien.
Beau soleil, petite chaleur (plus dans les autos que dehors, petit vent frais = montagne), super circuit et bonne ambiance SCCT.













A la fin de la journée, remballage des autos et adieux.
Nous rentrons à l'hôtel où nous laissons les remorques et la Diplomat et nous allons dîner cuisine locale... miam-miam...
Le lendemain, c'est dimanche, sur applaudissements !

Petit déjeuner pris, nous nous dirigeons vers une station pour faire nos pleins d'essence réciproques.



Puis les au revoir, un qui va au sud, un autre au nord.
La route se passe bien sur l'A71 jusqu'à l'aire des deux volcans où je m'arrête pour un dernier panorama sur ces monts d'Auvergne, dans les nuages.



Puis peu avant la sortie de Moulins, un bruit se fait entendre en charge ou à l'accélération.
Ben ch'uis pô encore arrivé !
Je sors donc de l'A71, direction Moulins, Nevers, la N7 puis l'A77.
En roulant cool sur RN à 80/90km/h, le bruit est moins fort mais présent quand même.
Bon, je suis quand même arrivé chez moi mais j'ai encore eu des doutes quant au moyen d'y arriver !!!
Je soupçonne les croisillons de l'arbre (x3) ou/et un ou les deux cardans/roulements de cardans.
Je vois cela cette semaine car le 23/24 octobre, je remets ça pour Dijon.
Faut donc que ça roule.
En tous cas, une très bon moment passé à se tirer la bourre entre autos Sixties/Seventies.
Trop bien Charade.
Petite histoire avec des mots pour l'expédition CHARADE 2010.
Après ma journée de travail, debout à 3h30 et retour à la maison vers 14h, je suis parti avec l'attelage vers 15h.
Direction l'A71 via l'A10 et l'A104.
Roulage impec pour sortir de la région parisienne.
Moyenne tenue 110/115 quand survient la première panne.
Le moteur câle sur l'autoroute...
Je me mets en roue libre (V8 boitoto + remorque).
Coup de bol, un accès se présente juste avant un pont, je m'y arrête.
Je jette un oeil sous le capot, triture quelques fils d'allumage puis essaie de redémarrer.
Le moteur repart, je repart aussi.
L'espace est bien court pour reprendre un bon 100 en moins de 15 ml...
Mais j'y arrive, non pas le 100km/h en 15 ml mais à me lancer suffisamment pour atteindre une vitesse convenable.
Je remonte dans l'auto et ça repart... jusqu'à un km d'une aire de repos...
Lequel km que je parcours en roue libre... vas-y, vas-y, encore 200m, 100m, 50m et jusqu'à l'arrêt, j'entends le démarreur, ouin, ouin, ouin.
Faut dire que quand j'étais en roue libre la dernière fois, j'ai activé le démarreur en roulant pour voir si le moteur repartirait...
Connerie !
Le démarreur est resté enclenché dans la couronne entraînée par la boitoto, même au point mort, le convertisseur entraînait le volant...
Donc quand je me suis arrêté, ouvert le capot, le câble de masse commençait à fondre ainsi que le plus démarreur.
Ce dernier a fait Dynamo en restant enclenché.
Il était bouillant, enfin, brûlant, il n'était pas encore liquéfié.
Heureusement qu'il n'a pas claqué, bonjour pour redémarrer un V8 boitoto à la poussette !
Bref, démontage dudit démarreur pour inspection avec des gros gants.
Etat ok.
Par contre deux doigts de ma mimine brulés, même avec les gants pour démonter les cosses de la batterie !
Après le remontage de tout sur le parking PL, j'appelle Eric pour lui dire ce qu'il en est.
J'ai bien pensé au pire des cas, de monter la Diplomat sur le plateau et l'accrocher à la Commodore.
Je ne serai sûrement pas allé loin ainsi, les gendarmes auraient sûrement au leur mot à dire...
je renquille l'A71 et je m'arrête à la station suivante pour faire un complément d'essence.
Je repart et le moteur recale sur la bretelle de sortie.
Re-tour sous le capot, rien d'anormal.
Sauf qu'en regardant l'aspect du porte fusible de la pompe à essence électrique, je m'aperçois qu'il est oxydé...
Nettoyage et c'est reparti pour la troisième fois.
Jusqu'à l'hôtel àCeyrat où j'arriverai vers 21h15.
Fin de la journée de vendredi, longue et plutôt stressante.
En voulant reprendre la Diplomat après avoir dettelé, la pompe à essence claque rudement fort, anormalement.
Nous décidons, Eric & moi, de prendre la Monza pour aller manger.
La pompe, on verra demain.
Le petit déjeuner est à partir de 7h30, il sera bien temps à 7h ou de voir ce qu'a la pompe, ou de la changer paske j'en avais pris une d'avance...
(tiens, comme c'est bizarre ?)
Une bonne nuit me remet d'aplomb et le lendemain, samedi, debout après 7h pour la pompe.
Un coup de démarreur, elle claque encore puis plus rien...
Saloperie!
Du coup, nous prenons notre temps, sortons les attelages de l'hôtel pour les "exposer" sur le parking de devant.
La journée piste se passe magnifiquement bien.
Beau soleil, petite chaleur (plus dans les autos que dehors, petit vent frais = montagne), super circuit et bonne ambiance SCCT.
A la fin de la journée, remballage des autos et adieux.
Nous rentrons à l'hôtel où nous laissons les remorques et la Diplomat et nous allons dîner cuisine locale... miam-miam...
Le lendemain, c'est dimanche, sur applaudissements !
Petit déjeuner pris, nous nous dirigeons vers une station pour faire nos pleins d'essence réciproques.
Puis les au revoir, un qui va au sud, un autre au nord.
La route se passe bien sur l'A71 jusqu'à l'aire des deux volcans où je m'arrête pour un dernier panorama sur ces monts d'Auvergne, dans les nuages.
Puis peu avant la sortie de Moulins, un bruit se fait entendre en charge ou à l'accélération.
Ben ch'uis pô encore arrivé !
Je sors donc de l'A71, direction Moulins, Nevers, la N7 puis l'A77.
En roulant cool sur RN à 80/90km/h, le bruit est moins fort mais présent quand même.
Bon, je suis quand même arrivé chez moi mais j'ai encore eu des doutes quant au moyen d'y arriver !!!
Je soupçonne les croisillons de l'arbre (x3) ou/et un ou les deux cardans/roulements de cardans.
Je vois cela cette semaine car le 23/24 octobre, je remets ça pour Dijon.
Faut donc que ça roule.
En tous cas, une très bon moment passé à se tirer la bourre entre autos Sixties/Seventies.
Trop bien Charade.
