"Les présidents américains, russe et chinois sont chacun dans une voiture, au même carrefour.Le panneau de la route de droite signale ROUTE DU CAPITALISME celui de gauche ROUTE DU SOCIALISME.
Le président Américain n' hésite pas: il prend la route du capitalisme. Au début tout se passe bien, mais soudain surgissent des crevasses, des flaques d' huile qui entraînent des dérapages, puis des clous provoquent des crevaisons . Il fait réparer ses pneus et parvient à poursuivre sa route.
Le président Russe prend la route de gauche, celle du socialisme. Au début tout se passe bien , mais au bout d' un moment la route se transforme en chemin boueux dans lequel il s' enlise. Il fait donc demi-tour, revient au carrefour des deux panneaux et prend la route de droite , celle du capitalisme.
Le président Chinois regarde à gauche, regarde à droite, et dit finalement à son chauffeur:
_ Tu intervertis les panneaux, et tu prends la route du socialisme. "
Et voici le moyen de résoudre une crise !
"C'est un village qui vit du tourisme. Cependant la crise économique a entraîné une raréfaction des touristes.
Plusieurs mois passent, et tout le monde devient de plus en plus pessimiste sur l'avenir économique de la commune.
Arrive enfin un touriste qui prend une chambre.
Il la paie avec un billet de cent euros.
Le touriste n'est pas encore arrivé à sa chambre que l'hôtelier court porter le billet chez le boucher, à qui il doit justement cent euros.
Le boucher va aussitôt porter le même billet au paysan qui l'approvisionne en viande.
Le paysan, à son tour, se dépêche d'aller payer sa dette à la prostituée à laquelle il doit quelques moments agréables.
La prostituée boucle la boucle en se rendant à l'hôtel pour rembourser l'hôtelier qui lui a fait crédit.
Comme elle dépose le billet de cent euros sur le comptoir, le touriste, qui venait dire à l'hôtelier qu'il n'aimait pas sa chambre et n'en voulait plus, ramasse son billet et disparaît.
Rien n'a été dépensé, ni gagné, ni perdu.
N'empêche que plus personne dans le village n'a de dettes.
" N'est-ce pas ainsi qu'on est en train de résoudre la crise mondiale ?"