c'est exactement ça

ce qui fait l'ingéniosité, c'est de trouver des solutions techniquement simples pour solutionner des problèmes apparemment complexes
papygte a écrit : ↑mer. 24 juil., 2019 09:20en regardant mieux le schéma, je crois avoir compris. L'inclinaison de l'axe du linguet permet d'avoir un appui sur la soupape bien perpendiculaire à l'axe de la soupape et évite ainsi les frottements parasites sur le guide. c'est ça ou c'est plus complexe ?
mantaluke a écrit : ↑mer. 24 juil., 2019 09:39c'est exactement ça![]()
ce qui fait l'ingéniosité, c'est de trouver des solutions techniquement simples pour solutionner des problèmes apparemment complexes
papygte a écrit : ↑mer. 24 juil., 2019 12:22en regardant sur wikipédia "commande dosmodromique" je lis cela Dans un système classique, à chaque ouverture, le culbuteur exerce une force pour comprimer le ressort, force qui n'est pas intégralement « récupérée » lors de sa détente. . Quelles sont les raisons d'une perte de rendement à ce niveau (échauffement au moment de la compression ou phénomènes plus complexes? ) et peut-on évaluer le taux de perte ?
mantaluke a écrit : ↑mer. 24 juil., 2019 16:12moteur origine 44CV à 6000 tr/min
avec un copain mécanicien moto on fait au mieux, en pensant que s'il tenait 2 courses c'était déjà bien, car on a beaucoup bidouillé. Il tournait toujours quand je l'ai arrêté il y a environ une vingtaine d'années, bien que la culasse soit fissurée entre les sièges et la bougie...il ne restait vraiment peu de matière avec les grands sièges réusinés.
j'ai remplacé une fois piston (wiseco) et bielle (pro X)
il prenait 7500, mais pas trop d'idée sur la puissance ???, c'était l'époque ou la plupart préparaient sans gros moyens...pas de passage au banc, mais j'ai compris dès les premiers essais qu'il n'avait plus aucune commune mesure avec le moteur origine.
car après des années de moto cross et enduro avec des gros 2 temps,j'étais habitué à la sauvagerie de ces moteurs 2T et je pensais le 4T comme un pépère poussif.
(j'ai fait un des premiers enduro du Touquet pour ceux qui connaissent en 1983, avec une suzuki 400TM)
rigolez si vous pouvez, mais j'ai fini 524ième sur 1020 concurrents alors que je n'avais jamais roulé dans le sable, et j'ai perdu énormément de temps au début pour essayer de prendre exemple sur les bons, qui n'hésitaient pas à passer sur les centaines de motos plantéesdans chaque dune.
j'aurais bien tenté une saison de monobike c'était le but de cette préparation, mais ...il fallait finir la maison et le 3ieme, suivi du 4ieme et enfin d'une 5 ieme arrivaient.....ça occupe les enfants![]()
plus tard je l'ai convertie en moto de route en m'amusant à lui faire une chouette esthétique. Tous les motards me demandaient ce que c'était comme bécane