Publié : ven. 28 août, 2009 14:56
Lors d'un précédent message, j'avais fait état de divers problèmes d'alimentation et/ou allumage (pétarade du pot, ralenti instable voire calage pur et simple).
Suite à un réglage du moteur, ça s'était un peu arrangé : au moins la voiture ne calait plus, mais les autres symptomes subsistaient.
Au vu des différents éléments glanés ici et là, j'avais dans le doute que le problème surtout de l'alimentation et/ou de l'allumage.
Enfin, le starter automatique faisait absolument tout et n'importe quoi (coupure trop tôt ou trop tard), ce qui me faisait penser de plus fort que le carburateur était l'un des fautifs.
Accessoirement, il fallait à tout prix que je fiabilise la voiture puisque celle-ci me sert dans le cadre de mon activité professionnel ("Allo, Monsieur le Magistrat ? Désolé de ne pas être à l'audience mais mon allumage m'a lâché sur l'A4...").
Dont acte,
Cet été j'ai fait monter un Weber en lieu et place du Zenith avec un allumage électronique Multic et une bobine Bosch (+changements des faisceaux, bougies, etc.)
Las !
Si la pétarade n'est plus qu'un souvenir, le problème de ralenti subsiste : il reste peu stable et aux alentours de 500 tr/mn à chaud.
Et maintenant j'ai un cliquetis (problème d'avance donc) et je trouve que la voiture manque généralement de "patate" : moins nerveuse et surtout moins de couple (je m'étais habitué à reprendre en 3ème à 30 km/h...).
Pour information, les valeurs de sortie de pot ne trahissent aucune prise d'air, pas même lorsque l'on sollicite l'assistance au freinage.
(Je note toutefois que lesdites valeurs sont meilleures que celles d'une injection récente, ce qui m'inquiète un peu sachant qu'il s'agit d'un 2 litres de 1975...).
Au vu de ce qui précède, quelqu'un a-t-il le moindre indice quant aux sources des émois de mon Opel ?
Etant précisé que le garagiste m'a présenté la chose comme un "cas d'école..." (le cliquetis serait contradictoire avec les problèmes de ralenti/puissance)
Merci d'avance.
Suite à un réglage du moteur, ça s'était un peu arrangé : au moins la voiture ne calait plus, mais les autres symptomes subsistaient.
Au vu des différents éléments glanés ici et là, j'avais dans le doute que le problème surtout de l'alimentation et/ou de l'allumage.
Enfin, le starter automatique faisait absolument tout et n'importe quoi (coupure trop tôt ou trop tard), ce qui me faisait penser de plus fort que le carburateur était l'un des fautifs.
Accessoirement, il fallait à tout prix que je fiabilise la voiture puisque celle-ci me sert dans le cadre de mon activité professionnel ("Allo, Monsieur le Magistrat ? Désolé de ne pas être à l'audience mais mon allumage m'a lâché sur l'A4...").
Dont acte,
Cet été j'ai fait monter un Weber en lieu et place du Zenith avec un allumage électronique Multic et une bobine Bosch (+changements des faisceaux, bougies, etc.)
Las !
Si la pétarade n'est plus qu'un souvenir, le problème de ralenti subsiste : il reste peu stable et aux alentours de 500 tr/mn à chaud.
Et maintenant j'ai un cliquetis (problème d'avance donc) et je trouve que la voiture manque généralement de "patate" : moins nerveuse et surtout moins de couple (je m'étais habitué à reprendre en 3ème à 30 km/h...).
Pour information, les valeurs de sortie de pot ne trahissent aucune prise d'air, pas même lorsque l'on sollicite l'assistance au freinage.
(Je note toutefois que lesdites valeurs sont meilleures que celles d'une injection récente, ce qui m'inquiète un peu sachant qu'il s'agit d'un 2 litres de 1975...).
Au vu de ce qui précède, quelqu'un a-t-il le moindre indice quant aux sources des émois de mon Opel ?
Etant précisé que le garagiste m'a présenté la chose comme un "cas d'école..." (le cliquetis serait contradictoire avec les problèmes de ralenti/puissance)
Merci d'avance.