J'ai oublié.
Pour ceux qui étaient avec moi vers la fin de la journée, ma roue arrière droite driblait à la moindre accélération franche.
J'étais donc "obligé" de doser l'accélérateur.
A la fin de la journée, en démontant les amortos de piste pour les remplacer par les gonflables pour la route, je me suis aperçu que la tête d'amorto droit était desserrée.
Putaing, si j'avais su . . .
Y en a quelques uns qui auraient eu un peu plus de mal à me doubler !!!
Comme la Manta de l'acrobate a fini sur mon plateau, Pascal a donc conduit la Commodore pour le retour.
Pas de chauffage dans l'auto, il a du se cailler grave.
Je crois même qu'il a une super crève ainsi que Christine !
De plus, le tube arrière d'échappement a cédé, il a donc fini dans le coffre.
A une pause sur l'autoroute du retour, Pascal me dit ça couine.
Ben, fait froid et noir, il a fait le reste de la route comme ça.
En rentrant la remorque et la Commodore cet après-midi, j'ai compris pourquoi ça couinait.
Les gaz d'échappement ont fondu le petit tuyau nylon des amortos gonflables.
Il a donc roulé sans gonflage, amortissement zéro.
Le couinement devait donc être les pneus qui touchaient les ailes.
J'ai passé au jet la remorque et la Commodore car nous avons doublé deux saleuses en action.
Bonjour le sel.
Voili-voilà.